Association créée en 1975 et agréée par le ministère de la jeunesse et des sports n°23S072
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PARUTION DU LIVRE DE SENSEI KENJI TOKITSU

Parution du dernier livre de Sensei Kenji TOKITSU "Tai-chi-chuan et Art de Combat" "Au-delà de la carapace corporelle: Recherches et Réflexions pour une méthode des arts martiaux"

Le tai-chi-chuan est à la base une méthode de combat efficace, conçue comme telle, ce que conforte le contexte social et culturel de son émergence. Dès lors, un décalage existe entre le tai-chi-chuan originel et sa pratique actuelle. Pour mieux concevoir que les principes du tai-chi-chuan sous-tendent une méthode de combat efficace, la comparaison avec l’art martial chinois appelé yi-chuan est pertinente. Le concept de zheng-li en yi-chuan est une clé. Développement, par analogie, des images de force pure (zheng-li) et de force trouble (force communément mobilisée). Vider l’eau trouble pour verser l’eau pure. Deux étapes dans le cadre d’une même progression. Cette progression permet de poser les jalons d’une pratique corporelle fondée sur le bien-être, la santé et la réappropriation de son propre corps (au moyen de la visualisation et de la sensibilité-sensation). Ce domaine est distinct de l’art martial, mais la progression en art martial (suivant la méthode du tai-chi-chuan) implique une évolution positive dans le domaine de la santé, du bien-être et une redécouverte de son propre corps (dont les bienfaits sur le plan spirituel peuvent être relevés). En ce sens, le tai-chi-chuan peut être considéré comme le qi gong (kikô) en mouvement, dont les apports sur le plan du bien-être et de la santé peuvent être cultivés en marge du volet strictement martial. C’est tout au moins une direction qu’a suivie le tai-chi-chuan au cours de son histoire.

Biographie de l'auteur

Kenji Tokitsu est né au sud de l’île principale du Japon deux ans après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Il commence donc à pratiquer le kendô en 1958 dans le collège du village. En 1964, il obtient le 1er Dan du karaté. En 1967, il réussit le concours universitaire de Hitotsubashi (jumelé à HEC en France) à Tokyo. Il y fait l’étude de droit, puis la sociologie. Il s’inscrit au dôjô universitaire du karaté qui enseignait l’école Shotokan du style JKA. En 1971 il obtient le diplôme Universitaire de Hitotsubashi en sociologie. En 1979 Kenji Tokitsu publie son premier livre « La voie du karaté », éd. Seuil, Paris. En 1980 il apprend pour la première fois le tai-chi-chuan de l’école Yang de 24 mouvements à Tokyo sous la direction de Me Yo Meiji (défunt). En 1982, il obtient à la Sorbonne le « Doctorat de 3ème cycle en Sociologie »: “Etude sur le rôle et les transformations de la culture traditionnelle dans la Société contemporaine Japonaise.” 1994 est le fruit de cette recherche. – Kenji Tokitsu publie “Méthode des Arts Martiaux à mains nues” Paris. éd. Robert Laffont 1988. En 1989, Kenji Tokitsu effectue un voyage de recherche à Taiwan où il étudie le tai-chi-chuan, le xing yi-chuan et bagua chuan. En 1989 au retour du Japon, Kenji Tokitsu fait la connaissance de Me Yu Yongnien, maître de Yi-chuan qui était lui-même élève de Wang Xhiangzhai, fondateur du Yi-chuan. Il va a Londres afin d’apprendre la base du yi-chuan. En 1991 Kenji Tokitsu publie “L’Art du Combat, entretiens avec Kenji Tokitsu” Paris.Ed. Trédaniel En 1993, Kenji Tokitsu obtient le « Doctorat en Langues et Civilisations Orientales » “Miyamoto Musashi, maître de sabre japonais du XVIIe siècle – le mythe et la réalité, l’oeuvre et son influence.” En 1994 Kenji Tokitsu publie “L’histoire du karaté” Paris. éd. S.E.M. – En 1998, Kenji Tokitsu publie “Miyamoto Musashi, maître de sabre japonais du XVIIe siècle Ed Désiris En 2000 Kenji Tokitsu forme l’école Jiseidô. La période du Shaolin-mon était celle de l’investigation à travers des études d’arts martiaux traditionnels partant du karaté. Ayant passé cette période de recherche, K.T fait une synthèse de ses recherches techniques en la fusionnant avec le kikô de la méthode Yayama. C’est ainsi qu’il forme le Jiseidô: « la voie de la pratique personnelle d’art martial par laquelle chacun se forme soi-même ». En 2016 Kenji Tokitsu est nommé 10eme dan par le comité de la WUKO!